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les investissements immobiliers souhaitant procéder à une défiscalisation. En
effet certaines défiscalisations peuvent être des succès.
Les investisseurs disposent de plusieurs possibilités listées
ci-dessous et expliquées dans l’onglet « Juridique ». Ils
peuvent solliciter les tribunaux pour : ·
Obtenir la nullité de la vente · Mettre en responsabilité le commercialisateur, le promoteur, le notaire, la banque … (dommages et intérêts pour préjudice moral et financier, perte de chance) · Suspendre leurs mensualités d’emprunt pendant deux ans ou pendant toute la période de la procédure selon le cas. (pendant 2ans pour les biens livrés et pendant toute la procédure pour les biens non livrés). · Obtenir la déchéance totale de leurs intérêts d’emprunt avec restitution des intérêts déjà échus (banque). · Demander la substitution du taux conventionnel par le taux légal (Banque). ·
Demander que la banque leur ayant fait souscrire
un prêt dit « toxique » (par exemple un prêt
en euros/Francs suisses), supprime la somme supplémentaire s’ajoutant au
capital emprunté, corrélée au taux de change. Exemple : Des investisseurs
ayant investi 100 000 € , se retrouve 5 ans après avoir réglé leurs mensualités a
devoir un capital de 110 000 € (banque dommages et intérêts). · Obtenir dans certains cas, la restitution du capital initial et des abondements versés sur une assurance vie dont le montant total a été considérablement amputé.
Elle a pour vocation : D’informer et de mettre en garde les investisseurs
potentiels du risque réel qu’ils peuvent encourir en achetant un bien pour
défiscaliser leurs impôts. Force est de constater que de nombreux
contribuables ont perdu 2 à 3 fois le montant prévu de leur 9 ans d’économie
d’impôt , le jour de la signature de l’acte authentique chez le notaire par une
surévaluation considérable de la réelle valeur vénale .Ce risque est avéré , réel et récurrent . De nombreux investisseurs ont acquis un bien dans une ville sans potentiel locatif c’est aussi une réalité incontestable. D’aider les investisseurs qui ont subi et sont obligés de subir 20 voir 25 ans les conséquences d’un tel investissement, à trouver une solution
transactionnelle ou judiciaire avec les acteurs de cette défiscalisation. De nombreux investisseurs ont acquis un bien
surévalué, sans potentiel locatif, avec un prêt à taux variable dont les
mensualités peuvent subir une lourde hausse ou un prêt toxique €/CHF. Certains ont même perdu la possibilité de défiscaliser
au bout de 12 mois n’ayant pas eu de locataire. Les charges de copropriété, les
frais de gestion les frais d’assurance prévus dans les simulations sont démultipliés.
L’investisseur doit faire face à la totalité de l’emprunt et assumer de surcroît les frais de fonctionnement de son bien, même
sans avoir de locataire. A chaque changement de locataire l’investisseur se
voit amputé d’un mois de loyer… et parfois les locataires se succèdent tous les
deux ou trois mois… locataires fictifs ? Certains investisseurs se retrouvent à devoir
vendre leur résidence principale pour faire face aux dépenses liées à cette acquisition. Pourquoi ? Parce que ce bien, agrémenté d’un
dispositif fiscal, n’est pas vendable au prix acquis, au regard de l’importante
surévaluation du montant de sa valeur vénale. Certains investisseurs se retrouvent même en
commission de surendettement Tous ces investisseurs
abusés se trouvent dans une situation traumatique aigue. Ce stress intense les amènent à devoir subir une
aide médicamenteuse afin de pouvoir supporter l’insupportable : Ils
perdent souvent les économies acquises
laborieusement toute une vie. Certains
couples sous cette pression en arrivent à divorcer, d’autres malheureusement trouvent
dans le suicide la seule issue qui leur semble possible. Certains groupes ont une méthodologie de vente redoutable.
Ils vous amènent à acquérir un bien sous
le seul saut de la confiance que vous inspire l’un de vos proches recruté par
leurs services commerciaux. Ces « marchands de défiscalisation » vous proposent un package ou le bien est présenté comme un support
subsidiaire complètement sécurisé en terme locatif et financier (aucune transparence
sur le bien lui-même et surtout sur les risques inhérents à cet acquisition).
Les résidences vendues comme résidences de haut standing sont parfois classées HLM par les
impôts eux même. Bon nombre de groupes se coiffant de plusieurs
casquettes : promoteurs, commercialisateurs et gestionnaires ont saisi cette opportunité de vendre du béton
à n’importe quel prix sous le double prétexte de la défiscalisation et de la
liberté des prix. Ces ventes sont souvent effectuées par des marchands de
défiscalisation pratiquant une vente qualifiée par les autorités de « vente en boules de neige » , et
pudiquement requalifiée par ces promoteurs de « vente en multi
niveaux ». En conséquence de nombreux investisseurs sont
ruinés pendant que certains groupes amassent des fortunes colossales en peu de
temps sous le regard semble t-il : bienveillant,
aveugle et laxiste de l’Etat. Dans un premier temps, en changeant son calcul d’imposition, le Gouvernement a spolié les investisseurs
situés dans des tranches moyennes d’imposition. Dans un second temps il n’a pas mis en place une cellule de
veille et a fermé les yeux sur ces dérives. Aucun garde
fou, aucun contrôle, aucun radar n’a été érigé
sur l’autoroute de la défiscalisation pour les contrevenants. Le contribuable aux revenus moyens ou
modestes a été tout simplement jeté en pâture aux requins de la
défiscalisation. Certains
Maires ont obtenu des classements de complaisance pour leur ville ne
rentrant pas dans le critère d’éligibilité d’un dispositif fiscal. Certains notaires ont failli à leurs obligations
de moyen et de conseil. Ils ont été juges et parties. Certaines banques ont failli à leurs obligations,
ont fermé les yeux sur l’endettement de leurs clients pour les endetter
davantage. Certains promoteurs ont été de véritables
« hommes orchestre » de ces défiscalisations. Leurs sociétés ne
répondant pas même pas aux exigences légales ont fait travailler des commerciaux indépendants sans expérience, sans
connaissance, sans carte de transaction immobilière, sans assurance civile
professionnelles et ne répondant pas aux
obligations du statut CIF (Conseiller en Investissement Financier). Par la faute de ces lois de défiscalisation mal surveillées
: des milliers de logements sociaux sont déjà construits dans toute la
France : sans locataire. Et pourtant : des milliers de famille sont
toujours sans logement. Ces logements sont pourtant construits, à disposition d’éventuels
locataires sociaux, mais vides … cherchez l’erreur … elle est grandiose ! CE N’EST PAS ACCEPTABLE Chacun doit prendre ses responsabilités et doit les assumer Le Gouvernement doit mettre en place une commission nationale de
recours et de médiation.
Nouveau : vous trouverez des vidéos d'avocats s'exprimant sur certains problèmes rencontrés par les uns et les autres . Toutes les vidéos dans : Juridique / Des avocats s'expriment
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